Ô Hôpital, toi qui trépasse,
Cette situation te dépasse.
Ô soignants, vous qui vous saignez,
Vous en avez tant à soigner
Notre Hôpital qui souffre tant,
Criait à l’aide depuis longtemps.
Tant de soignants manifestaient
et dans les rues on s’agitait
C’est le poumon de la nation,
Malgré qu’il est sous pression.
Il lui faut plus de subvention
Il lui faut une augmentation
Il faut augmenter les fonds
Afin qu’ils puissent se mettre à fond
Afin qu’on passe cette épidémie
Afin qu’on arrête cette pandémie
I.A
Commentaires
# Le 23 avril 2020 à 11:28, par Carl Mambourg En réponse à : La 301 s’engage
Bravo pour ce superbe poème !
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